Il y a quelques mois, un pote musicien chanteur me faisait découvrir Fredo Viola.
Atterrie sur son site web (superbe) j’ai écouté ‘the sad song’ et trouvé cette chanson aussi étrange que jolie.
Un mélange curieux : des sonorités médiévales électriques ; des instruments acoustiques posés sur une voix magnifique.
Fredo adore la France, et Paris…
Il s’y produit régulièrement, il était à la Cigale il y a trois jours et j’en sais un peu plus sur lui depuis qu’il m’a ajouté dans ses Facebook friends. (Bah oui c’est lui qui m’a envoyé la requête après être devenue fan sur sa page).
Assez fière donc de le compter parmi mes contacts je lui envoie les parutions sur lui, sa musique puisque son album ‘The Turn’ est sorti récemment. Il me répond toujours très gentiment ;
Un album très émotionnel, plein de soleil et de tristesse, d’humour badin et de beauté sombre ; quelques éloges notamment dans le Elle où je cite : ‘depuis quelques mois, Fredo Viola musicien new yorkais se fait buzzer sur you tube avec ses clips expérimentaux; the Turn son album, sort et la hype est déjà fan. Voila Viola !’
Je vous laisse aller naviguer sur son myspace et son site.
Écouter ‘the sad song’ pour vous endormir, ‘Hogwash’ pour les instruments et ‘Red States’ pour vous redonner le sourire.
Fredo habite New York, sur une autre planète qui sait ; en tout cas ses chansons vous plongent la tête dans les nuages.