Avec du retard je vous livre mon ressenti sur la pièce de David Lescot que j’ai vu il y a deux semaines.
Rien ne presse car pour établir ma critique il fallait avoir le nez fin… ou tout du moins être attentif au titre de la pièce pour en comprendre l’essence même.
Car une fois commencée, la pièce est un méli mélo d’incompréhensions.
Pour être honnête j’y suis allée pour applaudir mon ami comédien Scali Delpeyrat. Un homme talentueux et je ne remets pas en cause ses choix d’interprétations.
Dans nos occupations on retrouve des scènes de résistance qu’on a lu dans les livres d’histoires : des noms de code, le papier journal, les rendez-vous clandestins…
Et puis tout s’emmêle, on perd le fil, il n’y a pas de réelle trame qui nous ramène à ces anecdotes de personnes pourtant si courageuses.
Le décor, un sanctuaire de pianos laisse perplexe : on se dit que tout le financement a servi l’apparence pour délaisser toute l’intrigue de la pièce…